Les utilisateurs s’interrogent souvent sur la meilleure façon de configurer leur ordinateur pour le protéger des menaces comme les vers et les chevaux de Troie. Ils disent avoir installé une protection antivirus et ne jamais ouvrir des pièces jointes non sollicitées.
Mais ils se demandent si ces mesures sont suffisantes. Une protection antivirus constitue incontestablement une partie importante d’une solution de protection efficace. Elle a la capacité de détecter les menaces connues ainsi que les nouvelles menaces au moyen de la technologie heuristique. Mais il existe une seconde technologie qui peut venir compléter ce tableau: le pare-feu.
Comment un pare-feu peut-il protéger efficacement les vulnérabilités de votre site web?
Alors que le logiciel antivirus protège le système de fichiers contre des programmes indésirables, le pare-feu, en première ligne de défense, empêche les attaquants ou les menaces externes d’accéder à votre système.
D’autres menaces se déplacent d’un ordinateur à un autre à l’insu de l’utilisateur. Elles peuvent trouver un ordinateur qui possède des paramètres de sécurité plus faibles ou des vulnérabilités non résolues et s’introduire dans le système sans que l’utilisateur soit conscient de ce qui se passe. Plusieurs formes de vers et de chevaux de Troie, souvent appelés « bots », se déplacent de cette façon. Ils utilisent Internet pour rechercher des machines à infecter. L’utilisateur ne saura jamais que son système a été compromis parce que les menaces accèdent à son ordinateur de façon discrète.
C’est exactement dans ce type de situation que la protection pare-feu a un rôle à jouer.
Le pare-feu protège la totalité du trafic réseau et a la capacité d’identifier et de bloquer le trafic indésirable. Étant donné que, de nos jours, la plupart des ordinateurs sont connectés à Internet, les attaquants ont de nombreuses opportunités pour trouver des victimes. Ils testent des ordinateurs sur Internet pour déterminer s’ils sont vulnérables aux différents types d’attaques. Lorsqu’ils trouvent un ordinateur sans protection, ils peuvent le compromettre et s’introduire dans le système. Ensuite, l’attaquant peut obliger l’ordinateur victime à effectuer toutes les opérations qu’il veut. Les pirates essaient généralement de dérober les informations personnelles à des fins de fraude bancaire. Toutes ces activités ont lieu en arrière-plan sans que l’utilisateur soit conscient de ce qui se passe.
Il existe deux principaux types de pare-feu: les pare-feu de type client et les pare-feu de type appliance.
Un pare-feu client est un logiciel qui réside dans l’ordinateur lui-même et contrôle la totalité du trafic réseau sur cet ordinateur.
Un pare-feu de type appliance est un matériel qui est connecté entre Internet et votre ordinateur.
Ces dispositifs sont souvent utilisés dans des environnements réseau restreints où plusieurs ordinateurs doivent partagent la même connexion Internet. Les petits routeurs dont la plupart des utilisateurs se servent au bureau ou à la maison sont généralement dotés de pare-feu intégrés. Si vous utilisez un routeur, assurez-vous qu’il comprend un pare-feu.
Ces deux types de pare-feux peuvent empêcher les attaquants d’accéder frauduleusement à votre ordinateur.
Les utilisateurs qui voyagent doivent toujours avoir un pare-feu client installé sur leur système. Il ne faut pas courir de risques lorsque vous êtes connecté à Internet, loin de votre bureau ou de votre domicile.
Le logiciel antivirus est un outil important pour votre protection, mais l’ajout d’un pare-feu peut stopper durablement les menaces de ces criminels.
Il est évident que sécuriser ses données informatiques est un enjeu central pour toutes les sociétés de nos jours. Les menaces sont multiples (perte, vol, erreur humaine, piratage, bug, incendie, …) alors que le système d’information d’une entreprise regorge de toutes les données ultra cruciales. Il est alors raisonnable de protéger son informatique pour assurer la continuité de l’activité de la compagnie en toute sérénité. Comment se prémunir des principales menaces et comment sécuriser les données informatiques ? Quel rôle le conseil d’administration doit-il jouer ?
1# Définissez des règles exigeantes en matière de mot de passe
Le mot de passe est le premier élément à mettre en place pour protéger les postes de travail informatique d’une société. C’est un outil que doivent adopter et maîtriser tous les salariés pour savoir comment sécuriser les données informatiques. Il faut convenir de certaines règles pour qu’il soit hautement performant. Il doit être individuel, secret et complexe. Il ne doit pas être ni noté, ni transmis. Il doit « comporter au minimum 8 caractères incluant chiffres, lettres et caractères spéciaux et doit être renouvelé fréquemment (par exemple tous les 3 mois) », comme le suggère la CNIL.
2# Contrôlez les points d’accès à internet de votre société pour sécuriser ses données informatiques
Les accès internet représentent des vulnérabilités importantes pour la sécurité de votre système informatique. Un pirate peut chercher à s’engouffrer dans un de ces points d’accès afin de toucher l’ensemble du système d’information. Aussi, à l’aide de différentes solutions techniques, il convient de protéger ces brèches sensibles. Cela implique de couvrir l’ensemble des accès, y compris sur appareils mobiles et les accès wi-fi.
3# Adoptez des règles strictes de comptes utilisateurs
La mise en place de comptes utilisateurs pour l’accès aux postes de travail permet de parfaitement sécuriser ses données informatiques. Ils doivent être conçus de façon nominative pour identifier précisément chaque personne. Cela permet aussi de pouvoir déterminer quel compte utilisateur peut avoir accès à quel fichier. Ainsi, en fonction des missions de chaque salarié, des droits d’accès peuvent être définis.
4# Faites la guerre aux solutions cloud personnelles
De plus en plus d’internautes utilisent les applications cloud pour stocker et partager des fichiers. Or la majorité de ces solutions disposent d’un niveau de sécurité insuffisant au regard de la confidentialité des données des sociétés. Facilement accessibles, ces outils cloud sont difficilement « sécurisables » par les entreprises, car elles échappent à leur contrôle. Aussi il importe de les fuir autant que possible pour sécuriser ses données informatiques, en privilégiant d’autres solutions cloud plus expertes.
5# Sécurisez l’ensemble des appareils mobiles de votre entreprise
Parmi les usages les plus récents, le développement des appareils mobiles (smartphone, tablette et PC portable) conduit à des risques importants dont il faut se prémunir. Ils tiennent à la fois à la perte de ces terminaux ou à leur vol. Des fuites ou des vols de données peuvent en résulter. Aussi il est nécessaire de mettre en place des solutions qui répondent à la problématique de comment sécuriser les données informatiques. Il faut être en mesure de réaliser certaines actions à distance : supprimer le contenu, le chiffrer ou bloquer les accès.
6# Formez, sensibilisez et responsabilisez le personnel pour plus d’efficacité
Si dans une société, seul le responsable de la sécurité informatique sait comment sécuriser les données informatiques, cela ne peut pas être suffisant. Le facteur humain est responsable d’un grand nombre d’incidents, du fait d’inattention ou de méconnaissance le plus souvent. Tous les employés et même les responsables de l’entreprise doivent être au fait de la cyber-sécurité pour maintenir le niveau de risque le plus bas possible. Aussi, le personnel doit être formé, accompagné et mobilisé autour de cet objectif. Des bonnes pratiques doivent être exposées et des règles édictées à travers l’élaboration d’une charte informatique.
7# Sachez réagir face aux cyber-attaques et anticiper les risques
Même si vous savez parfaitement comment sécuriser les données informatiques de votre société, vous ne pourrez éviter toutes les attaques. Les cyber-menaces ont pris une telle importance, qu’il est aujourd’hui impossible de ne jamais y être confrontées. Donc, il vous faut vous y préparer efficacement. Vous devez définir les moyens de les repousser ainsi que les procédures au cas où une attaque atteindrait votre système informatique malgré tout. La perte comme la divulgation d’informations doivent être correctement anticipées. Les données, surtout les plus sensibles, doivent être sauvegardées de façon sûre.
8# Adoptez une démarche systématique, cohérente et rigoureuse
Les usages électroniques et numériques se sont tellement développés qu’il est difficile de tous les circonscrire. Cependant, il est indispensable pour savoir comment sécuriser les données informatiques d’intégrer l’ensemble des équipements informatiques, des usages et des usagers. Le parc informatique doit être le plus homogène possible tant en matière de systèmes d’exploitation, de paramétrage et de protection. Les mêmes dispositifs de protection (pare-feu local, anti-virus, …) doivent être installés partout sans exception pour une efficacité réelle.
9# Restez en permanence à jour pour ne rien rater des évolutions
Sécuriser ses données informatiques est une tâche de chaque instant. Les pratiques des hackers évoluent en permanence, de nouveaux virus sont créés chaque jour et de nouvelles techniques de protection sont régulièrement mises au point. Il faut donc rester perpétuellement à jour. Il importe dans chaque entreprise de mettre en place des équipes et des compétences évolutives pour être sûr de contrer les attaques.
10# Élaborez une politique de sécurité du système d’information pour prévenir
Pour anticiper comment sécuriser les données informatiques, le mieux est de ne pas être dans la réaction, mais d’avoir une longueur d’avance. Pour ce faire, il faut rédiger une politique de la sécurité informatique détaillée qui soit accessible à tous les salariés et responsables. Cela implique que vous définissiez les périmètres du système d’information à protéger, les éventuelles menaces et vulnérabilités qui pèsent sur le système, les responsabilités de chacun, les procédures à initier face aux attaques, … Cette stratégie réfléchie et définie en amont est la seule vraie garantie pour contrer efficacement les cyber-menaces.
Le rôle du conseil d’administration pour savoir comment sécuriser les données informatiques
Au niveau de l’entreprise, le conseil d’administration a la responsabilité de garantir qu’une bonne stratégie de cyber-sécurité est décidée et que tous les process nécessaires à sa bonne exécution sont bien en place. Cependant, pour savoir comment sécuriser les données informatiques de la société, cette dernière doit s’appuyer sur des professionnels compétents au sein d’une direction dédiée.
Par ailleurs, un conseil d’administration a un rôle important à jouer pour sécuriser ses données informatiques. À l’instar de tous les salariés de l’entreprise, les administrateurs doivent être informés, sensibilisés et responsabilisés en matière de protection des datas. Des bonnes pratiques et des règles à l’intérieur d’une charte informatique doivent inclure leurs usages spécifiques.
Du fait de leur rôle de représentants de la société et de l’importance stratégique des informations dont ils disposent, ils doivent se montrer exemplaires. Il est impératif que les membres du conseil cherchent à diminuer le risque de perte de données, de fuites d’informations et de vol de datas.
Pour donner l’exemple, les administrateurs doivent commencer par se doter des bons outils hautement sécurisés. Un portail digital sécurisé pour gérer les conseils est alors une solution de premier plan pour aller dans ce sens de l’exemplarité.
Savoir comment sécuriser les données informatiques est un préalable à la bonne gouvernance d’une société. Outre la nécessité de faire appel à une équipe d’experts informatiques qui mettra en place une réelle politique de protection du système d’information de l’entreprise, il incombe au conseil d’administration de prendre ses responsabilités en matière de cyber-sécurité. Aussi mettre en œuvre en permanence les meilleurs pratiques, appliquer les règles les plus strictes et se doter d’un portail sécurisé sont essentiels.
Les logiciels de sauvegarde sont indispensables pour préserver les données de l’entreprise en cas d’accident ou de panne. Voici les meilleures solutions en local – et donc hors cloud – pour faire un backup sécurisé de ses données sous Windows et des conseils pour bien choisir son logiciel de backup.
Bien que fiables, les plateformes de stockage ne sont ni infaillibles, ni éternelles. C’est pourquoi, les logiciels de sauvegarde sont indispensables pour préserver et retrouver ses données en cas d’accident ou de panne, des événements inévitables dans la vie des produits de stockage. Contrairement à Apple et à sa Time Machine, Microsoft ne fournit pas aux utilisateurs Windows une solution de sauvegarde et de restauration système totale intégrée, efficace, prête à l’emploi, qui nécessite peu d’interaction ou de configuration de la part de l’utilisateur. Le système de Microsoft fournit un mix de points de restauration, de disques de récupération, de sauvegarde de fichiers, sans parler du système de sauvegarde de Windows 7, abandonné pour son manque de fiabilité avec certains matériels. Et si les services de sauvegarde en ligne représentent une autre option pour les utilisateurs, les clients desktop sont préférables, car ils offrent en général beaucoup plus de flexibilité.
De nombreux fournisseurs proposent des alternatives, et si aucune n’est aussi simple ou aussi transparente que la Time Machine d’Apple, certaines solutions s’en approchent énormément. De plus, un grand nombre d’entre elles sont gratuites.
Acronis True Image 2020
True Image a été désigné comme meilleur logiciel de sauvegarde global par nos confrères de PCWorld. Une raison à cela : le logiciel est efficace et flexible, et d’une fiabilité à toute épreuve. Acronis a annoncé qu’il apporterait plus de 100 améliorations à son logiciel en 2020, parmi lesquels il y aura beaucoup d’ajustements et de correctifs. Les seuls « ajouts » majeurs concerneront les notifications dans la barre d’état système et la double protection (locale et dans le cloud pour la même tâche). Il faut ajouter à cela une meilleure détection des logiciels malveillants, des écrans d’identification plus conviviaux, plus quelques améliorations mineures. L’empreinte du logiciel est importante – le téléchargement de l’installation pèse en effet 600 Mo – mais si vous disposez des ressources nécessaires, l’effort en vaut la peine. La version Standard coûte actuellement 47,99€ (contre 59,99€) par machine en achat unique. Il est également possible d’opter pour un abonnement annuel Advanced, actuellement à 39,99€ (contre 49.99€), ou un abonnement annuel Premium, actuellement à 79,99€ (contre 99.99€).
Aomei Backupper Standard 4
Parmi les programmes gratuits testés par nos confrères de PCWorld, c’est Backupper Standard qui a remporté la palme, essentiellement parce que, dans sa catégorie, le logiciel offre le plus de fonctionnalités, y compris l’imagerie, la sauvegarde de fichiers, le clonage de disque et la synchronisation de fichiers, plus de multiples options de programmation. Certes, son interface bitmap est assez rétro, mais la présentation et le workflow sont intuitifs. Et même s’il est plus lent pour sauvegarder les ensembles de fichiers, c’est, selon nos confrères, le logiciel le plus rapide testé jusqu’à présent pour la sauvegarde complète de disques et de partitions. De plus, il mobilise peu le CPU pendant la sauvegarde, ce qui est également appréciable.
Les interfaces des solutions de back-up sont souvent chargées.
Bien choisir son logiciel de sauvegarde
Le premier conseil est de ne pas s’orienter vers une solution qui offre un tas de fonctionnalités dont vous n’avez pas besoin. Un surplus de fonctions ajoute de la complexité et peut ralentir le système. De plus, si vous avez l’intention de sauvegarder vos données sur un disque dur externe récent, il n’est pas rare que celui-ci soit fourni avec un logiciel de sauvegarde. Seagate, WD et d’autres fournissent des utilitaires de sauvegarde qui répondent parfaitement aux besoins de l’utilisateur moyen.
Sauvegarde de fichiers : Si vous souhaitez sauvegarder uniquement vos données (les systèmes d’exploitation et les programmes peuvent être réinstallés, même si cela prend un peu de temps et d’efforts), un programme qui sauvegarde uniquement des fichiers sélectionnés représente un gain de temps important. Certains programmes sélectionnent automatiquement les fichiers appropriés si vous utilisez les dossiers de la bibliothèque Windows (Documents, Photos, Vidéos, etc.).
Sauvegarde d’images : Sauvegarder une image disque revient à sauvegarder un instantané octet par octet de tout le disque dur (sans les secteurs vides, en général) ou de toute une partition. Ces instantanés peuvent servir à restaurer à la fois le système d’exploitation et les données. La sauvegarde d’image est la solution la plus pratique pour restaurer un système après une panne, et garantir également la préservation de fichiers importants.
Media de boot : Si le système est incapable de booter, il faut une autre solution pour démarrer et exécuter le logiciel de restauration. Tout programme de sauvegarde devrait être capable de créer un disque optique (CD, DVD) ou une clé USB bootables. On peut également créer une partition de restauration sur le disque dur, mais celle-ci ne peut être utilisée à la place du disque uniquement si celui-ci reste opérationnel.
Sauvegarde régulière : Pour être efficace, la sauvegarde doit être régulière. Tout programme de sauvegarde digne de ce nom doit permettre de programmer ses sauvegardes.
Versionning : L’écrasement de fichiers anciens par des fichiers récents n’est pas assimilable à de la sauvegarde. C’est de la synchronisation à sens unique ou de la mise en miroir. Tout programme de sauvegarde devrait permettre de conserver plusieurs sauvegardes antérieures, ou en cas de sauvegarde de fichiers, des versions antérieures du fichier. Un bon logiciel doit pouvoir conserver et éliminer les anciennes sauvegardes selon des critères établis par l’utilisateur.
Support optique : Tout programme de sauvegarde supporte les disques durs, mais aussi obsolètes qu’ils puissent paraître, les DVD et les disques Blu-Ray restent d’excellents supports d’archivage. Si vous avez des doutes sur la fiabilité des supports optiques, M-Disc affirme que ses disques peuvent durer un millier d’années, des affirmations étayées par les tests du Département américain de la Défense.
Assistance en ligne : Une copie hors site de ses données permet de se prémunir contre les catastrophes physiques comme les inondations, les incendies et les surtensions. Les services de stockage en ligne sont un excellent moyen de conserver une copie hors site de ses données. La sauvegarde sur Dropbox et autres services du même genre représente une option intéressante.
FTP et SMB/AFP : La sauvegarde sur d’autres ordinateurs ou des boîtiers NAS présents sur le réseau ou dans des lieux éloignés (un bureau distant, ou la maison de ses parents) offre une autre solution pour protéger physiquement ses données sous forme de copie hors site, et physiquement assez discrète. Il est possible d’utiliser le FTP pour effectuer des sauvegardes distantes. Mais le SMB (disponible sous Windows et la plupart des systèmes d’exploitation) et l’AFP (Apple) offrent également une bonne solution pour se connecter à d’autres PC ou NAS sur un réseau local.
Temps réel : La sauvegarde en temps réel signifie que les fichiers sont sauvegardés à chaque fois qu’ils sont modifiés, généralement lors de leur création ou de leur sauvegarde. Cette solution en miroir s’avère très pratique pour conserver la copie d’un ensemble de données appelé à subir des modifications rapides et en disposer immédiatement. Dans le cas d’ensembles de données moins volatiles, il est préférable d’opter pour des sauvegardes programmées pour éviter de monopoliser inutilement les ressources système.
Sauvegarde continue : Dans ce cas, « continue » signifie simplement une sauvegarde à intervalles très réguliers, généralement toutes les 5 à 15 minutes, plutôt que tous les jours ou toutes les semaines. La sauvegarde continue est adaptée aux ensembles de données qui changent rapidement. Elle est préférable à la sauvegarde en temps réel quand les taux de transfert sont trop lents ou que la puissance de calcul est trop précieuse.
Performance : Comme la plupart des sauvegardes se passent en arrière-plan ou pendant les temps morts, la performance n’est pas un problème majeur dans les usages grand public. Cependant, pour effectuer la sauvegarde de plusieurs machines ou vers plusieurs destinations, ou s’il s’agit de sauvegarder de très gros ensembles de données, la vitesse est un élément à prendre en compte.
Les serveurs informatiques permettent de protéger et de centraliser les données. Ils permettent également de relier plusieurs accessoires informatiques à savoir les imprimantes, les scanners, les photocopieuses, etc. aux ordinateurs. Quels que soient les types de réseau que vous disposez, les serveurs informatiques peuvent y jouer le rôle d’hébergeur des logiciels et des données de toute sorte pour rendre votre entreprise bien informatisée. Quels sont les types de serveurs existants??
Aperçu des différents types de serveurs
La palette des serveurs informatique s’étend sur un champ large avec chacune des fonctions bien définies. Ainsi, on distingue :
1-Les serveurs web
Les serveurs web sont le carrefour où sont installés des logiciels divers en vue de leur fonctionnement normal. Ces logiciels (software ou hardware) fonctionnent ensemble pour créer et emmagasiner des fichiers web composés de sites ou de contenus destinés à être livrés aux visiteurs. Ce sont pour la plupart des documents HTML, des images, des papiers CSS, des documents JavaScript. On en déduit donc qu’un serveur web favorise la publication de contenu sur site : il peut s’agir d’un ordinateur ou d’un serveur HTTP composé de logiciel dynamique. Les serveurs web sont responsables de la connexion internet et des échanges de messages également.
2-Les serveurs d’impression
Les serveurs d’impression créent une liaison entre plusieurs ordinateurs et des imprimantes pour permettre une utilisation partagée. Il suffit de bénéficier d’un même réseau et vous pouvez jouir ensemble des imprimantes à partir de vos appareils respectifs.
3-Les serveurs de fichiers
Ce sont des serveurs utiles pour des entreprises disposant de plusieurs employés et qui ne disposent pas d’ordinateur à tous les postes. Ils peuvent s’en servir pour une utilisation commune dans le but d’y stocker leurs fichiers, procéder aux partages et échanges entre personnels. C’est une bonne alternative pour le travail en réseau.
Disponibles en plusieurs types, les serveurs informatiques jouent des rôles tout aussi variés et importants les uns que les autres. Ils représentent le centre d’un système informatique.
Dans le sillage de l’internet des objets (IoT), Audi développe depuis plusieurs années toute une gamme d’applications et de technologies de connectivité, dénommée Audi Connect.
Voici 6 points à retenir sur les progrès accomplis !
1. Les connexions à bord
Il n’est pas facile, d’envisager un environnement de travail efficace qui serait dépourvu d’un accès à internet, de solutions de communication et de progiciels connectés. Il est tout aussi illusoire de penser la circulation routière indépendamment des technologies embarquées dans les véhicules, et notamment des systèmes de cartographie. Pour faciliter le “networking”, les finitions Business Audi offrent, selon les modèles, deux possibilités : utiliser la carte e-SIM Audi Connect, avec forfait de données intégrée au véhicule, et/ou “jumeler” le système multimédia embarqué (MMI, pour “Multi Media Interface”) à la connexion internet d’un smartphone. Il est dès lors possible de piloter certaines fonctions du véhicule depuis l’écran tactile du téléphone et de consulter les contenus stockés sur le terminal (musique, contenus vidéo, calendrier…) sur l’écran du MMI (Multi Media Interface) ou sur le Virtual Cockpit (tableau de bord virtuel).
2. Partage de contenus
Pour faciliter l’accès aux contenus, le module de connectivité embarqué dans le véhicule est désormais compatible avec les technologies de haut débit mobile 4G LTE et il peut être piloté via l’écran du MMI ou par le biais d’un système de reconnaissance vocale. Et pour plus de fluidité encore dans les usages, vous pouvez profiter en toute sécurité des fonctionnalités de votre smartphone grâce aux technologies Apple Carplay et Android Auto.
3. Intégration à un réseau d’objets communicants
Grâce à un nouveau module “car-to-x”, chaque véhicule Audi, à l’instar des ordinateurs professionnels, est désormais partie intégrante d’un réseau de véhicules et d’objets de signalisation communicants. En Europe, pour sécuriser encore un peu plus la conduite autonome et le “piloted driving”, ce service connecté est déjà en mesure de récupérer et de communiquer en temps réel des informations émanant des panneaux routiers. Les capteurs Audi pre sense city arrivent en outre à détecter instantanément l’arrivée de véhicules et de piétons à proximité (lorsque la vitesse est inférieure à 85 km/h), tandis que des alertes de trafic transversales préviennent l’automobiliste de l’approche d’autres véhicules lorsqu’il sort d’une place de stationnement.
4. Cartographies haute définition
En complément de l’affichage des cartes et info trafic Google Maps, et des vues réalistes associées offertes via d’autres services comme Google Street View, la marque Audi a investi dans sa propre technologie de cartographie haute définition : elle est depuis fin 2015 l’un des quatre actionnaires du système de cartographie et de planification d’itinéraires HERE. Les cartes digitales HD HERE, faciles à actualiser, sont particulièrement appréciées des professionnels en quête de données cartographiques précises et personnalisables – prestataires de services, gestionnaires de trafic…
5. Clés virtuelles
Audi a été l’un des premiers constructeurs à dévoiler une clé virtuelle sur smartphone. Exit le casse-tête des clés perdues ! Mais que se passe-t-il si le mobile est déchargé ? La clé sans contact (NFC) Audi mobile key a été pensée pour continuer de fonctionner sur un smartphone déchargé.
6. Téléphonie mains-libre
L’Audi Phone Box est installée par défaut dans les consoles centrales de plusieurs Audi. Le principe ? Le conducteur n’a qu’à poser son téléphone sur cette console pour le transformer en un téléphone de voiture qui se recharge sans fil, par induction (avec le standard Qi).
Une bonne gestion de votre parc informatique d’entreprise vous permet de prévenir les défaillances et de réduire les coûts de fonctionnement de votre système informatique. La gestion de parc informatique assure sa pérennité et constitue un enjeu majeur pour votre entreprise.
Parc informatique, définition.
Le terme de parc informatique désigne l’ensemble des ressources matérielles et logicielles qui composent votre système informatique.Le parc informatique comprend :
Les postes de travail fixes ou portables,unités centrales et leurs accessoires : écran, claviers, souris…etc.
Les périphériques : imprimantes, scanner, tablettes graphiques, caméra et micro de visioconférence, disques durs externes…
Les serveurs et NAS
Le Cloud
Le réseau physique et les équipements réseau : switch, bornes wifi, firewall, modem, sondes de température
Les données informatiques : données actives, données archivées
L’ensemble des logiciels et applications utilisés ainsi que leurs licences.
Les appareils mobiles, smartphones et tablettes.
Qu’est-ce que la gestion de parc informatique ?
La gestion de parc informatique regroupe un ensemble de tâches visant à entretenir, développer et optimiser l’ensemble des ressources informatiques de l’entreprise.
Recenser et localiser l’ensemble des éléments du parc informatique.
Définir l’organisation du système informatique.
Administrer les serveurs et équipements réseau.
Gérer l’ensemble des prestataires tiers liés à l’informatique (support logiciel, support matériel, opérateur internet…).
Protéger le parc informatique avec des outils de sécurité avancés.
Assurer la maintenance préventive et le dépannage des équipements informatiques.
Mettre en place des procédures de renouvellement des postes informatiques, serveurs et équipements réseau en fonction d’un cycle de vie prédéfini.
Assurer la formation des utilisateurs aux usages informatiques.
Établir une charte informatique.
Garantir le fonctionnement optimal du parc informatique.
Comment gérer un parc informatique ?
La gestion de parc informatique nécessite l’utilisation d’outils et de procédures spécifiques.
1- Utiliser un outil de gestion de parc informatique
La première étape d’une bonne gestion de parc informatique est incontestablement l’inventaire du parc. Celui-ci doit être exhaustif et mis à jour en temps réel. Vous devez donc disposer d’une base de données recensant l’ensemble de votre matériel informatique, de vos accessoires et de vos équipements réseau.
Cette base de données, appelée CMDB, ou Configuration Management Data Base, doit regrouper les numéros de série des équipements, les mots de passe, les licences, l’état du matériel, la date d’achat, la date de fin de garantie, les contrats d’infogérance ou d’assistance et toute spécificité technique qu’il est pertinent de connaître sur votre matériel informatique (capacité des disques, mémoire vive, connectiques…).
Oubliez le fichier excel, plusieurs logiciels de gestion de parc informatique ont été conçus par des professionnels. Ils vous permettront d’effectuer une gestion de parc informatique efficace.
Cet inventaire du parc informatique vous permet de nettoyer votre parc informatique en faisant le point sur l’utilisation réelle des postes, des licences et de tout équipement lié à l’informatique. Les équipements obsolètes peuvent ainsi être supprimés du parc, évitant de perdre du temps et de l’argent avec la gestion de matériel non utilisé.
2- Automatiser la mise à jour des matériels
Votre système informatique doit être maintenu à jour. Les mises à jour des logiciels apportent de nouvelles fonctionnalités mais permettent surtout de corriger les failles de sécurité des programmes. La plupart des mises à jour peuvent être réalisées automatiquement. Des logiciels adaptés permettent également d’automatiser certaines tâches. Les mises à jour en question doivent être réalisées sur l’ensemble des machines du parc informatique.
3- Définir des profils de postes pour homogénéiser votre parc informatique
Pour faciliter la gestion de parc, l’application des mises à jour et l’achat des postes, il est préférable d’homogénéiser votre parc informatique sur quelques profils de postes types.
La définition des profils de postes vous permet de valider des configurations standards à votre entreprise avec vos collaborateurs en fonction de leurs usages : direction, comptabilité, marketing, atelier de production… Il est possible de définir un profil de poste par service ou par groupe d’utilisateurs. N’hésitez pas à interroger vos collaborateurs pour connaître leurs besoins en matière d’équipement informatique afin de doter votre entreprise de matériel type efficace, correspondant aux usages et compétences des utilisateurs. Évidemment, certains métiers spécifiques demandent l’utilisation de machines particulières et vous devez en tenir compte dans la gestion de votre parc informatique.
Par la suite, pas de jaloux, tous vos collaborateurs, par service, possèdent le même type de poste, correspondant exactement à leurs usages. Et l’achat de nouveaux postes vous est facilité. Un nouveau collaborateur intègre votre entreprise ? Vous n’avez qu’à préciser à votre fournisseur le profil de poste concerné pour passer commande.
En homogénéisant votre parc informatique vous optimisez son fonctionnement et réduisez ses coûts de gestion.
4- Respecter le cycle de vie des postes pour un fonctionnement optimal
Le cycle de vie type des équipements informatiques est le suivant :
3 ans pour un PC portable
5 ans pour un PC fixe
5 ans pour un serveur
Au delà de ces durées, vous risquez une perte de performance et la multiplication de pannes sur votre matériel informatique. Les garanties de postes ou serveur peuvent même parfois ne pas être prolongées passé ce délai. Par conséquent, il est vivement conseillé de respecter ces délais pour assurer un fonctionnement optimal de votre parc informatique.
Quelles solutions pour gérer efficacement son parc informatique ?
La gestion de parc informatique peut s’effectuer de deux façons différentes : elle peut être gérée en interne par votre responsable informatique ou elle peut être confiée à un prestataire externe de type société d’infogérance.
Si vous souhaitez assurer la gestion en interne, veillez à confier cette tâche à un expert de l’informatique pour limiter les risques de mauvaise gestion pouvant entraîner des pannes et une insatisfaction de vos utilisateurs.
A contrario, si vous souhaitez externaliser cette gestion de parc, renseignez-vous auprès de prestataires informatiques spécialisées en infogérance, ils pourront gérer votre parc informatique dans son ensemble : inventaire, cartographie du système d’information, optimisation du parc, définition des profils de poste, renouvellement des postes, maintenance préventive, assistance technique pour les utilisateurs…
Pourquoi sauvegarder ? Drôle de question ! A l’heure actuelle, la sauvegarde, ou plutôt les sauvegardes, apparaissent comme des actions incontournables pour l’ensemble des données critiques qu’il ne faudrait surtout pas perdre, sans quoi c’est la pérennité même de l’entreprise qui pourrait en pâtir. Ces dernières transitent par différents moyens, et parfois même sur différents supports.
Chaque mois, plusieurs piratages de sociétés importantes ont lieu. Nous pouvons reprendre l’exemple de stars possédant un compte iCloud ou encore, plus problématique, de Dropbox où 7 millions d’identifiants et mots de passe ont été récupérés. Un piratage de données consiste généralement par trouver les accès (identifiants, noms d’utilisateurs et mots de passe) puis à les diffuser à des sites peu fiables ou sur des réseaux sociaux pour en faire une utilisation malsaine.
Les erreurs humaines et défaillances techniques sont aussi des sources importantes de pertes de données. La question n’est plus de savoir pourquoi sauvegarder mais comment faut-il s’y prendre.
Nous allons aborder deux types de sauvegarde qui diffèrent en fonction de leurs fichiers et des besoins de l’utilisateur.
Quelles sont les différentes solutions pour sauvegarder ses données ?
La sauvegarde locale
Plusieurs supports sont disponibles pour de la sauvegarde locale. Cette sauvegarde permet d’avoir les données « près de soi », que ce soit sur un disque dur externe (quand nous parlons d’une sauvegarde, nous partons du principe qu’il s’agit de mettre les données sur un support externe à l’ordinateur même). C’est pourquoi la sauvegarde locale est un excellent moyen de sauvegarde et fait partie d’un des plus surs.
Pour effectuer la sauvegarde locale, plusieurs supports sont disponibles : on pense notamment aux disques durs externes, mais également aux serveurs (NAS entre autres) qui permettent d’avoir le support à domicile. Il est aussi possible d’avoir recours aux clefs USB, mais qui limitent un peu plus la quantité à sauvegarder.
N’hésitez pas à utiliser des outils adaptés de sauvegarde en fonction de votre système d’exploitation de l’ordinateur, de vos serveurs et à les paramétrer correctement.
La sauvegarde dans le Cloud
Qu’est-ce qu’un cloud ?
Oui, c’est quoi un Cloud ? Un Cloud se traduit littéralement par nuage. C’est un système de sauvegarde qui devient de plus en plus utilisé, qui a ses avantages tout comme ses inconvénients. Les avantages sont multiples, en voici une liste non-exhaustive
Tous ces atouts permettent d’apporter une vraie plus-value à la sauvegarde en ligne.
Le Cloud au service des entreprises
Opter pour une sauvegarde en ligne dans une entreprise est un conseil. Les entreprises qui ont adopté le Cloud ont pu ouvrir leurs perspectives de travailler avec des personnes d’une autre ville, d’un autre bureau, d’un autre pays ou même d’un autre continent. Voir l’historique d’un fichier sera toujours possible afin d’avoir le contrôle sur les utilisateurs du document.
Le travail collaboratif est une vraie avancée dans le monde des entreprises. Travailler sur le même document, en même temps, mais sans pour autant être au même endroit c’est possible. Plusieurs services le permettent, tels que Drive de Google ou iCloud Drive d’Apple. Les éditeurs de serveurs proposent leurs propres solutions.
Que vous soyez une grosse ou une petite entreprise, le Cloud est utilisé dans les deux cas. C’est pourquoi elle permet d’accroître la compétitivité. L’accès aux données depuis une tablette ou un smartphone est possible ! C’est même un gros avantage dans le monde de l’entreprise pour consulter ses données de n’importe où (à la seule condition d’avoir l’Internet mobile tel que la 3G/4G ou encore l’EDGE).
Il est possible de récupérer les archives ou documents anciens afin de pouvoir retravailler dessus tel un historique de vos documents. A l’heure actuelle, nous pensons que négliger la sauvegarde en ligne serait une grosse erreur.
Une ou plusieurs sauvegardes ?
La réponse est claire, nette et précise : plusieurs. Pourquoi sauvegarder plusieurs fois ?
Tout simplement, parce que dans le monde du numérique, nous nous ne sommes à l’abri de rien : une coupure d’électricité, un piratage en ligne, un ordinateur qui brûle… Avoir une sauvegarde, c’est bien, deux c’est mieux, trois c’est l’idéal : une locale, une sur un serveur qui vous appartient ou que vous louez à l’année et enfin une dans un Cloud.
Les services sont nombreux et ont tous leurs avantages et inconvénients. C’est à vous de choisir ce qui convient le mieux avec le type de fichiers à sauvegarder, le nombre de personnes qui vont chercher à y accéder, l’utilisation réservée à ces outils…
Quelques conseils pour optimiser une sauvegarde
Avoir des mots de passe uniques sur chaque site, serveur, avec des identifiants de connexion uniques : mélanger les caractères spéciaux, des symboles, combiner plusieurs mots, mettre des « fote » d’orthographe, insérer des chiffres…
Programmer une sauvegarde régulière, tous les jours à la même heure, de préférence la nuit.
Changer les mots de passe régulièrement, au moins une fois par mois.
Sauvegarder vos fichiers sur plusieurs supports, dont toujours un support physique que vous pourrez contrôler vous-même.
La sauvegarde est indispensable pour toute entreprise qui travaille sur, avec, pour, le web et le monde des réseaux et Internet. C’est une étape nécessaire qu’il ne faut pas négliger, puisque les conséquences peuvent être dramatiques, alors n’attendez plus et optimisez vos sauvegardes !
Pour sauvegarder Mailstore sans passer par l’outil intégré, voici ce qu’il faut faire :
Sauvegarde des magasins d’archives internes
Lors de la sauvegarde des magasins d’archives internes avec un logiciel de sauvegarde externe, il faut veiller à la cohérence des données qui dépend principalement de la méthode de sauvegarde. Les sections suivantes résument les avantages et les inconvénients des différentes méthodes.
Sauvegardes basées sur des fichiers
Bien que les solutions de sauvegarde basées sur des fichiers soient bonnes pour la sauvegarde de fichiers indépendants, elles ne conviennent généralement pas pour créer des sauvegardes cohérentes d’un serveur MailStore car ses données sont réparties sur plusieurs fichiers à évolution rapide.
Afin de créer des sauvegardes cohérentes avec des outils de sauvegarde basés sur des fichiers, il est nécessaire soit de geler et de décongeler MailStore Server via les commandes net pause mailstoreserver et net continue mailstoreserver, soit d’arrêter et de redémarrer le serveur MailStore via les commandes net stop mailstoreserver et net start mailstoreserver .
Étant donné que MailStore Server doit rester arrêté pendant la durée de la sauvegarde, cela entraîne généralement des temps d’arrêt pendant lesquels MailStore Server ne peut ni archiver les nouveaux e-mails ni fournir l’accès de l’utilisateur final aux données archivées.
Instantanés de stockage
Lors de l’utilisation des services de cliché instantané de volume (VSS) ou d’autres méthodes de création d’instantanés au niveau du stockage, il est nécessaire de s’assurer que tous les fichiers sont fermés avant la création de l’instantané.
Le service MailStore Server fournit un logiciel de sauvegarde externe utilisant le service de cliché instantané de volume de Microsoft avec un rédacteur de service de cliché instantané de volume (VSS Writer). Le logiciel de sauvegarde externe peut l’utiliser pour créer des sauvegardes cohérentes de la base de données principale du serveur MailStore et de tous les magasins d’archives internes. Cependant, la réussite de cette méthode dépend en grande partie du logiciel de sauvegarde et du stockage utilisé. L’enregistreur VSS doit être activé dans la configuration du service MailStore Server .
Pour vérifier si les événements VSS appropriés ont été lancés dans MailStore Server lors d’une sauvegarde, ouvrez le protocole d’application dans l’observateur d’événements Windows et recherchez les événements suivants:
Une session de sauvegarde a été lancée.
L’archive a été gelée en réaction à l’événement OnPrepareSnapshot.
Les archives ont été décongelées en réaction à l’événement OnThaw.
La session de sauvegarde a été fermée.
Si ces événements sont introuvables dans le protocole d’application, aucune sauvegarde cohérente à l’aide du service de cliché instantané de volume n’a été effectuée. Dans ce cas, le logiciel de sauvegarde doit préparer MailStore Server pour les instantanés. Cela peut être fait avec les méthodes détaillées dans la section Sauvegardes basées sur des fichiers .
Pour savoir comment exécuter des commandes avant et après l’exécution des instantanés, veuillez consulter la documentation de votre logiciel de sauvegarde.
Instantanés complets de la machine virtuelle
Certaines solutions de sauvegarde sont fortement intégrées dans les solutions de virtualisation et peuvent créer et sauvegarder/répliquer des instantanés complets de machines virtuelles. Ces types d’instantanés contiennent non seulement l’état actuel des disques durs, mais aussi de la mémoire principale actuelle. Ainsi, les instantanés complets de machines virtuelles peuvent être considérés comme cohérents.
Autres méthodes de sauvegarde ou de réplication
Pour les questions concernant tout autre type de solution de sauvegarde, comme la réplication au niveau des blocs, la sauvegarde continue, etc., veuillez contacter le service d’assistance du fournisseur pour savoir si son logiciel est capable de créer des sauvegardes cohérentes de structures de répertoires entiers.
Sauvegarde des magasins d’archives externes
Les magasins d’archives externes vous permettent de stocker des informations sur les dossiers et des métadonnées dans une base de données SQL. Les en-têtes et le contenu des courriels peuvent également être stockés en option dans une base de données SQL. Les fichiers d’index de recherche doivent être stockés dans le système de fichiers.
Pour sauvegarder les magasins d’archives externes, les données distribuées doivent être sauvegardées simultanément. Arrêtez le service MailStore Server, sauvegardez les bases de données SQL et les fichiers qui sont stockés dans le système de fichiers avec les outils de sauvegarde appropriés, puis redémarrez le service MailStore Server lorsque vous avez terminé.
Vous pouvez arrêter et démarrer le service MailStore Server en exécutant les commandes “net stop mailstoreserver” et “net start mailstoreserver“.
Si les fichiers d’index de recherche non chiffrés ne sont pas sauvegardés, vous pouvez les reconstruire après avoir restauré la sauvegarde.
Avant même d’optimiser votre parc informatique, votre réseau ou encore vos logiciels, toute prestation d’infogérance va se focaliser sur la pérennité de votre travail. Elle va donc mettre en place rapidement et à moindre coût une sauvegarde de vos données, de manière à pouvoir les récupérer en temps et en heure si cela est nécessaire. Et dans le même temps, cette prestation va aussi chercher à sécuriser tout votre parc informatique. C’est la clé de l’infogérance : sécuriser, sauvegarder, puis ensuite améliorer.
Un coût réduit
Vous pourriez en effet embaucher en interne un salarié pour gérer ce type de travail. Mais généralement, cela vous coûtera plus cher. L’avantage de la prestation d’infogérance, c’est qu’elle va en effet pouvoir prendre le relai et s’adapter à vos besoins réels : de quelques heures à plusieurs semaines par mois.
Un dépannage informatique rapide
L’autre avantage est de pouvoir compter sur votre prestataire dès que vous avez un problème, et encore lors de problèmes multiples pour les traiter de manière simultanée. La société d’infogérance va en effet pouvoir vous allouer tout le personnel dont vous avez besoin pour le dépannage informatique, que ce soit lors d’une panne généralisée ou localisée.
De meilleures performances
De même, votre parc informatique sera plus performant, et ceci pour plusieurs raisons. Tout d’abord, une entreprise qui se spécialise dans l’infogérance doit constamment se tenir informée des nouvelles technologies et techniques utilisables, éléments qu’elle pourra ensuite appliquer plus rapidement à ses clients qu’avec une personne embauchée en interne. De même, les spécialistes de l’infogérance vont rencontrer tout type de problématiques et de bugs. Ils auront ainsi une bien meilleure connaissance de ce qui peut ou non fonctionner en entreprise, rendant la vôtre plus performante.
Une optimisation fiscale
Au niveau fiscal, le matériel informatique a un coût élevé qu’il faut pouvoir financer à moyen et long terme. A l’inverse, l’infogérance vous permet d’externaliser au maximum votre matériel informatique pour ne garder en interne que le stricte nécessaire. Au niveau comptable, cela se traduit donc d’un passage d’immobilisations de matériel à des charges externes, ce qui peut parfois être très avantageux.
Un réel gain de temps
C’est sans doute la meilleure partie : le gain de temps pour gérer toutes les problématiques informatiques. Plus besoin de gérer cela en interne, une société extérieure le fera pour vous !
A qui faire appel pour son infogérance ?
Avec plus de 100 collaborateurs et un réseau performant et compétent, la société Netsysteme informatique est justement la plus adaptée pour vous proposer une prestation d’infogerance adaptée.
Contactez-nous pour nous parler de vos besoins informatique afin que nous puissions vous proposer un service qui corresponde parfaitement à vos besoins.
De nombreux observateurs et entreprises considèrent que la téléphonie en mode IP incarne une solution d’avenir. Si cela implique un certain bouleversement dans nos habitudes et nos pratiques culturelles, cette solution s’avère pourtant particulièrement intéressante, à la fois techniquement et financièrement.
Qu’est-ce que la téléphonie IP ?
Pouvant être appelée VoIP ou Voix sur IP, ce mode de téléphonie utilise le protocole Internet pour acheminer tout ou partie des communications. La voix est numérisée puis véhiculée en paquets. Les standards téléphoniques proposant la technologie IP sont désignés sous le sigle IPBX.
Quel terminal ?
Opter pour une solution de téléphonie ip réclame l’acquisition d’un matériel adapté (en dehors d’une connexion Internet). Vous avez le choix entre plusieurs gammes de terminaux : • Les solutions les plus économiques : entre 66000 et 131000 F CFA. La fenêtre d’affichage comprend une à deux lignes de caractères et dispose de peu de fonctionnalités ; • Les solutions haut-de-gamme : avec des prix allant de 164000 à 459000 F CFA, ces appareils sont dotés d’écrans graphiques monochromes ou couleurs. Certains proposent même l’affichage photo ; • La solution soft phones : avec un coût situé autour de 98500 F, les soft phones sont des téléphones logiciels s’installant directement sur l’ordinateur.
Technologie IP : comment ça fonctionne ?
Les systèmes de téléphonie utilisant la technologie IP peuvent fonctionner de deux différentes façons : • Via un modem, de téléphone à téléphone : il s’agit du service classique tel que proposé dans les offres Internet et téléphonie illimitée des FAI. Ce service consiste en la mise en place deux passerelles qui vont convertir les données pour les faire passer à travers le réseau IP. Ainsi, il vous faudra brancher vos téléphones sur le modem ; • La téléphonie Wi-Fi : seuls certains FAI proposent ce mode de téléphonie. Pour être en mesure de téléphoner par ce biais, il faut vous trouver à proximité de la box fournie par votre FAI et disposer d’un téléphone adéquat.
Quels sont ses atouts ?
Il est possible de relever quatre avantages majeurs quant au recours à la téléphonie en mode IP : • Une réduction des coûts : les appels longue distance sont moins chers et les appels à l’intérieur de l’entreprise sont gratuits ; • Un choix d’avenir : le marché de la téléphonie d’entreprise s’oriente clairement vers les solutions orientées technologie IP. En opérant rapidement ce choix stratégique, vous serez en mesure d’adapter ces offres au plus près de vos besoins ; • Gagner en mobilité : désormais reliée à Internet, la téléphonie IP permet aux utilisateurs de conserver leur numéro lors de leurs déplacements ; • Davantage de souplesse : tous les matériels de l’entreprise (téléphone, visioconférence, fax…) sont réunis sur un même réseau.