Découvrez avec NETSYSTEME la baie de brassage : un matériel réseau essentiel

La baie de brassage  ou armoire de brassage ou armoire réseau est une armoire technique et métallique permettant la centralisation des équipements réseau d’une entreprise en un seul endroit, facilitant l’accès au réseau intranet et internet. La baie de brassage est particulièrement utile dans une société qui appartient à un réseau ou qui a un besoin permanent d’éléments informatiques et téléphoniques. Mais à quoi sert la baie de brassage ?

A quoi sert une baie de brassage?  

Une baie de brassage sert à connecter les ports des matériels de réseau et de téléphonie aux arrivées des câbles réseau. Son installation est nécessaire pour les structures possédant un certain nombre d’équipements informatiques et/ou téléphoniques qui sont connectés en réseau. Une baie de brassage a comme principal avantage de faciliter l’organisation et l’utilisation du câblage. Elle est généralement constituée par un routeur, d’un commutateur ou plus et de platines qui servent à recevoir les câbles qui sont connectés aux prises situées sur les murs.

Un système de communication avec brassage permet une meilleure prise en compte des besoins multimédia d’un client et de le doter d’équipements plus polyvalents qui permettent la diffusion de manière aléatoire de signaux téléphoniques, informatiques ou de télévision.

La baie de brassage permet de moduler la configuration dans un bâtiment.

La baie de brassage est très avantageuse dans le sens où elle permet la distribution continue d’un signal différent dans une seule et même prise. Par exemple, si la connexion internet n’est plus requise dans une pièce mais que l’accès à la téléphonie est toujours nécessaire, il est possible de conserver cette dernière grâce au brassage informatique.

De quoi est constituée la baie de brassage?

La baie de brassage informatique comporte 4 éléments principaux à savoir : le routeur, les commutateurs, les panneaux de distributions ainsi que les connectiques

Le routeur :

Le routeur est une pièce qui meuble les multiples couches OSI. Il est décrit comme l’un des éléments les plus importants dans la baie brassage informatique. Le routeur est responsable de l’unification et la répartition du réseau Internet. Pour ce faire, il intercède le réseau du fournisseur ou de l’hôte avec le réseau du destinataire par l’intermédiaire de la troisième OSI.

Les commutateurs ou les switchs :

Le switch ou commutateurs appartient à la zone de la deuxième couche OSI. Il se présente sous forme de répéteur multi-ports intelligents. Connecté au routeur, le switch sert principalement à communiquer les informations obtenues par le routeur. Une fois que le routeur transfère ces données (adresses MAC) aux commutateurs. Ils les enregistrent dans sa table de commutation à laquelle un port est associé à une adresse.

Même si les commutateurs jouent le rôle de transmetteurs, ils ne s’occupent que d’une fine partie des données.

Les panneaux de distributions :

La baie de brassage informatique renferme deux variétés de panneaux de distribution : un panneau de distribution téléphonique et un panneau de distribution pour les boitiers muraux.

Le premier panneau a pour objectif de joindre les ports du téléphone à un dispositif surnommé autocom. Ce dernier se charge de la conception de plusieurs lignes téléphoniques. Quant au second, il permet de lier les câbles du panneau de distribution téléphonique ou des ports des commutateurs aux câbles branchés aux secteurs muraux.

Les connectiques :

Les connectiques sont des prises qui se situent sur l’intégralité des éléments des baies de brassages informatiques : routeur, switch, panneau de distribution. Ils permettent de relier les câbles avec les secteurs qui conviennent. Dans certains cas, les baies de brassages informatiques sont fournies avec des câbles de fibre optique.

Quels sont les avantages d’une baie de brassage?

La baie de brassage est avantageuse pour l’entreprise, dans le sens où elle permet d’avoir une organisation plus performante et pratique de l’ensemble du câblage. Cet équipement est généralement équipé d’un routeur permettant d’accéder à internet car il interconnecte le réseau du fournisseur d’accès à celui de l’entreprise. Ensuite, il y a plusieurs switchs qui sont des répéteurs multiports intelligents qui permettent la transmission des données envoyées par le routeur.

Les switchs mémorisent les adresses MAC afin de pouvoir identifier les différents hôtes et de procéder à l’envoi des informations de façon ciblée. Enfin, la baie de brassage comprend un panneau de distribution qui est relié aux prises murales. Tout cela permet d’optimiser le réseau, de faciliter l’organisation, de diminuer les risques électrostatiques, de protéger le matériel informatique, …

 

Pour un projet de brassage informatique, il est fortement conseillé d’avoir recours à un professionnel comme une entreprise informatique proposant des services de gestion de salle informatique qui inclut la réalisation d’un inventaire, du brassage informatique et de services annexes comme le pilotage, l’exploitation de datacenter, …

 
 

 

 

6 astuces pour devenir un expert en sécurité

Développer une expertise en une matière quelconque requiert de suivre des études et d’acquérir des connaissances spécialisées dans cette matière ; le processus qui permet de devenir expert en sécurité informatique n’échappe pas à cette règle générale.

Pour ce secteur de pointe dans lequel les aptitudes dont il est nécessaire de faire preuve sont en constante évolution, seuls les meilleurs et ceux qui s’efforcent de se tenir le plus possible à jour peuvent se prévaloir d’une expertise avérée.

Avec les attaques informatiques successives de ces dernières années, la demande en matière de sécurité informatique s’est considérablement accrue.

Si elles sont animées par des attentes fortes, les entreprises et autres entités qui formulent de telles demandes ne manquent pas d’être particulièrement sélectives quant aux profils des personnes qu’elles sont susceptibles de retenir afin de prendre en charge leur sécurité digitale.

En dépit de son caractère indispensable, un cursus académique commun peut donc se révéler totalement insuffisant pour justifier d’une réelle expertise sur ce registre. Diverses astuces existent qui permettent d’acquérir les compétences requises pour devenir expert en sécurité informatique.

Astuce 1 : Se former convenablement pour devenir expert en sécurité informatique

Les experts de la sécurité informatique font bien souvent penser à des hackers doués qui se révèlent prodigieux grâce à leurs méthodes disruptives. Cependant, la plupart des parcours qui permettent de devenir expert en sécurité informatique passent par un cursus académique.

Ce type de formation conduit à développer une bonne connaissance des divers types d’architectures et de méthodes existants ainsi que des règles et bonnes pratiques à entretenir. Cela passe généralement par une licence, un Bac+5 ou une école d’ingénieur.

Une formation convenable a l’avantage notable de permettre d’acquérir l’expérience cumulée des praticiens du secteur mais également des connaissances qui, bien que conventionnelles, renseignent néanmoins sur de multiples techniques conçues dans le but d’améliorer la cybersécurité.

Astuce 2 : Avoir une fine maîtrise des systèmes

L’une des principales préoccupations pour quiconque aspire à devenir expert en sécurité informatique concerne le système en place au sein de la structure dont il faut assurer la sécurité. L’architecture de ce système, sa fiabilité et ses fragilités doivent ainsi faire l’objet d’une grande maîtrise.

La prise de conscience quant aux carences identifiées, leur correction et le renforcement des points forts, en gros, l’optimisation du système, constitue une œuvre en constante amélioration. Pour cela, il convient de démontrer des connaissances solides dans des disciplines spécifiques :

  • Administration réseaux ;
  • Pare-feu ;
  • Développement système ;
  • Chiffrage et cryptologie.

Il est de surcroît nécessaire d’avoir une vision claire de la hiérarchie à établir entre les divers volets du système informatique à sécuriser.

La mise en place d’une politique de sécurité informatique et la rédaction d’une charte à cet effet permettent de codifier les mécanismes d’accès, les règles de partage et de surveillance ainsi que les usages que les utilisateurs peuvent faire des différents outils disponibles.

Astuce 3 : Comprendre la nécessité de contrôle

Devenir expert en sécurité informatique : Bien comprendre le facteur humain

Encore dénommé risque « table-chaise », le facteur humain correspond à la part de risque inhérent à l’usager d’un système informatique. Devenir expert en sécurité informatique requiert d’avoir une conscience acérée de ce risque.

L’une des manifestations les plus concrètes dudit risque est relative au recours par les travailleurs d’une organisation, à des applications Cloud non validées. Il s’agit généralement de solutions de stockage libres qui n’offrent aucune garantie de sécurité quant aux données qui y sont hébergées.

Ni l’organisation ni l’expert sécurité ne disposent alors d’aucune maîtrise quant aux personnes qui peuvent accéder aux éléments qui y sont stockés par les collaborateurs. Lorsqu’il s’agit de données professionnelles nominatives ou confidentielles, ce risque prend une gravité particulière.

La solution à cet égard passe globalement par la sensibilisation des salariés quant aux risques liés à de telles pratiques et quant à la prudence dont ils doivent faire preuve. La charte informatique sus évoquée peut servir d’outil de responsabilisation pour renforcer cette sensibilisation.

La sensibilisation doit également permettre d’éveiller la conscience des collaborateurs à l’endroit de risques tels que :

  • Les arnaques usuelles ;
  • Les mots de passe trop faibles ;
  • Les mots de passe à usage multiple ;
  • L’introduction de clefs USB personnelles ;
  • Le partage d’éléments professionnels confidentiels ;
  • L’ouverture spontanée des fichiers attachés envoyés par des inconnus.

Devenir expert en sécurité informatique requiert donc d’être en mesure de limiter le risque lié au facteur humain en responsabilisant le personnel. L’établissement et la vulgarisation de procédures à suivre en cas de perte de matériel informatique sensible participe aussi de cette démarche.

Contrôler les accès Wi-Fi

De nombreuses organisations et entreprises disposent de bornes Wi-Fi installées dans leurs locaux, au profit de leurs travailleurs. Parfois non sécurisées, ces ouvertures qui permettent d’accéder au réseau interne doivent systématiquement faire l’objet d’une surveillance étroite afin de sécuriser les flux de données.

Dans le cas d’une borne Wi-Fi dont la portée est élevée, il peut même advenir que l’ouverture ainsi fournie soit accessible depuis l’extérieur du périmètre physique des locaux professionnels. Une personne non autorisée peut alors s’y connecter, ce qui constitue une faille majeure et un risque de piratage.

A cet effet, devenir expert en sécurité informatique implique d’être en mesure de recourir à du matériel adapté et correctement dimensionné, de configurer convenablement de tels réseaux, mais aussi d’assurer un contrôle pertinent de ces points d’accès.

Contrôler les accès internet

Le contrôle des accès ne se limite pas à déjouer les intrusions provenant de l’extérieur. Devenir expert en sécurité informatique nécessite aussi d’être en mesure d’exercer un contrôle sur les flux sortants. Pour cela, le recours à un pare-feu matériel ou logiciel peut s’imposer.

Cet outil offre la possibilité de filtrer l’ensemble des contenus qui passent à travers les accès internet, sans pour autant empêcher les travailleurs d’accéder à la Toile. Un suivi régulier de la liste des sites et ressources considérés comme présentant un risque, permet de bloquer tout échange avec de tels sites.

Une telle démarche se justifie amplement car chacun des points d’accès internet de l’entreprise, face à des compétences spécialisées, peut devenir une ouverture exploitable pour une attaque contre le système informatique.

Ainsi par exemple, dans le cas d’un système déployé sur plusieurs sites physiques et mis en réseau, une approche efficace peut consister à :

  • Limiter le nombre d’accès internet ;
  • Mettre en place un réseau privé virtuel ;
  • Fournir à l’ensemble du réseau un unique accès à internet.

Ce type d’approche permet de simplifier le contrôle à assurer en réduisant le nombre de points d’accès dont il faut assurer la surveillance.

Astuce 4 : Être paranoïaque

Être porté sur la sauvegarde

Devenir expert en sécurité informatique implique d’être constamment en mesure d’assurer la sécurité et la pérennité des données professionnelles. Outre les agressions, les défaillances du système informatique peuvent mettre en péril la sécurité desdites données.

Une méthode efficiente pour faire face à de telles éventualités consiste à mettre en place une solution de restauration des données. Ce type de solution permet également de se prémunir contre les attaques de rançongiciels.

Lorsqu’elle est en mesure de récupérer une sauvegarde récente de ses données, l’organisation n’a pas à payer les pirates à l’origine de l’attaque. Cela suppose néanmoins que ces sauvegardes aient été stockées dans un emplacement distinct de celui qui a subi l’attaque.

Se tenir prêt

L’une des qualités à développer pour devenir expert en sécurité informatique consiste à considérer qu’une attaque est toujours imminente et susceptible de se produire.

Cette conscience se développe d’autant plus aisément lorsque l’on sait que des systèmes automatisés écument constamment le web à la recherche de points faibles à attaquer sur les systèmes informatiques connectés. Aucune sécurité n’est donc définitive.

De nouvelles failles sont ainsi constamment découvertes et de nouvelles méthodes d’attaque sont aussi constamment élaborées. Garder cette réalité présente à l’esprit permet de réagir comme il se doit afin d’assurer efficacement la protection du système informatique dont on a la charge.

Astuce 5 : Devenir expert en sécurité informatique : Renforcer son expérience

Si une bonne formation permet de s’habituer aux différents types de systèmes pouvant exister, il convient pour quiconque désire devenir expert en sécurité informatique de diversifier ses environnements de travail. Cela permet d’être confronté à de multiples architectures et systèmes.

Cette diversité offre l’avantage d’enrichir l’expérience dont un responsable sécurité informatique digne du nom peut se vanter de disposer. Les diverses positions occupées au sein des organismes successifs permettent par ailleurs d’étoffer le parcours d’une personne qui aspire à devenir expert en sécurité informatique.

Dans le secteur, les budgets des organisations augmentent depuis plusieurs années et de nombreux emplois sont régulièrement créés. Il est donc relativement aisé de renforcer son expérience.

Astuce 6 : Maintenir la veille technologique

Les attaques informatiques se perfectionnent sans cesse et évoluent pour surprendre les systèmes informatiques et leurs gestionnaires. Les pirates font preuve d’imagination et de créativité pour réussir à déjouer les protections connues.

En réponse à ce dynamisme &dans la malveillance, les failles découvertes dans les systèmes, logiciels, applications et outils font l’objet de fréquentes mises à jour destinées à apporter des correctifs. La veille sur ces deux plans est essentielle si l’on veut devenir expert en sécurité informatique.

Les mises à jour étant fournies gratuitement par les éditeurs, ne pas se tenir informé pour en profiter et renforcer la sécurité des systèmes dont on a la charge serait du gâchis.

De même, il est utile de se tenir au courant des procédures et protocoles servant à déjouer, à contenir ou à prendre en charge les attaques les plus habituelles. Il faut aussi en être suffisamment imprégné pour être en mesure d’y réagir convenablement, sans perdre la maîtrise.

Securite : Comment créer des mots de passe sécurisés

Saviez-vous qu’il ne suffit parfois que de quelques secondes à une personne mal intentionnée de pirater votre mot de passe ? Pour empêcher une telle situation il est essentielle de créer des mots de passe sécurisés.

Si votre mot de passe ressemble à « 123456 », « azerty », « password » ou encore « iloveyou » alors préparez-vous à le changer. Vos comptes sont loin d’être sécurisés.

Il est parfois très facile pour des personnes malveillantes de découvrir un mot de passe, et lorsque cela arrive, c’est une entrée directe sur vos données personnelles.

Pour éviter une telle situation, il est indispensable de renforcer votre mot de passe, et voici comment faire.

1. Créer plusieurs mots de passe

Nous sommes nombreux à n’utiliser qu’un seul et même mot de passe pour tous nos comptes dans un souci de mémorisation.

Pourtant, c’est une pratique à éviter car si quelqu’un venait à découvrir votre mot de passe il aurait accés a toutes vos données

Pour éviter d’être piraté en cascade privilégiez un mot de passe unique pour chaque compte.

2. Utiliser un générateur de mot de passe

Solution de facilité, le générateur de mot de passe saura vous procurer une succession de lettres et de chiffres aléatoires, difficile à retenir certes, mais aussi difficile à pirater.

3. Miser sur la longueur

Si vous ne souhaitez pas utiliser de générateur de mot de passe mais que vous préférez le créer vous-même, miser sur la longueur.

Cela signifie que vous devez insérer plus de 10 caractères, 12 et 14 étant de bonnes moyennes.

Plus votre mot de passe sera long, plus il sera compliqué à deviner.

4. Varier les caractères

Au-delà du nombre de caractères, leur type est aussi important.

Idéalement, votre mot de passe doit contenir 4 types de caractères différents :

  • Des lettes majuscules
  • Des lettres minuscules
  • Des chiffres
  • Des caractères spéciaux

5. Préférer l’aléatoire

Votre mot de passe ne doit pas avoir de signification particulière telles qu’une date, un surnom, le nom de votre chien, une suite logique de chiffres et de lettres, etc.

Optez pour un mot de passe aléatoire, qui ne veut rien dire.

6. Changer de mot de passe régulièrement

Pour plus de sécurité, il est recommandé de changer régulièrement son mot de passe, surtout en entreprise

Si une personne quitte votre société ou si vous arrêtez votre collaboration avec un prestataire ayant accès à certains de vos comptes, changez rapidement vos mots de passe.

7. Retenir ses mots de passe sans les écrire

Une fois votre mot de passe créé de façon à ce qu’il soit sécuritaire, vous vous rendez compte qu’il est difficile à retenir. Surtout que vous en avez plusieurs si vous avez suivi le conseil n°1.

Notre réflexe serait de les noter dans un carnet, dans notre smartphone, dans un fichier texte.C’est une très mauvaise idée ! Sauf si vous voulez que vos mots de passe soit facilement dérobé.

defaillance de serveur que faire ?

Combattre les pannes de serveurs

Pour combattre ces défaillances de serveurs, il s’agit de lutter contre les risques réels à travers des mesures de prévention. Celles-ci se réfèrent en général à une série de mesures organisationnelles pour le choix et la conception de l’environnement des serveurs.

Protection incendie et système d’alimentation

Pour protéger des serveurs d’influences physiques telles que des incendies, inondations, pannes d’électricité ou encore d’actes de sabotage, votre salle des machines doit être équipée en conséquence. Cela commence dès le choix de son emplacement. Les caves ne sont pas recommandées pour les risques d’inondation qu’elles comportent. Par ailleurs, l’accès à cette salle devrait être limité aux spécialistes et cette dernière devrait être équipée de cloisons de sécurité. Ces espaces ne doivent, durablement, pas être pensés comme des places de travail.

Les dégâts engendrés par des incendies peuvent être parés via des systèmes de protection incendie.  Cela regroupe aussi bien l’installation de portes incendie, de dispositifs de détection de fumée, d’extincteurs portatifs, ou encore de systèmes d’extinction automatiques (à gaz par exemple).  D’autres mesures préventives consistent à se protéger de risques d’incendies en utilisant des matériaux (machines, câbles, etc.) convenables et résistants au feu et en évitant tout produit inflammable.  

Les appareils électroniques produisent de la chaleur. Une augmentation de la température dans la salle du serveur peut être la conséquence de l’ensoleillement tout simplement. Pour éviter les défaillances de serveur et les données erronées, des appareils de ventilation et des systèmes de refroidissement plus performants peuvent être utilisés. Les conditions optimales de stockage pour les médias de stockage de longue durée sont les suivantes : une température se situant entre 20 et 22 degrés et une humidité de 40 pourcent.

Une condition fondamentale pour le fonctionnement du serveur sans interruption est une alimentation constante en courant. Une interruption de plus de 10 ms est déjà considérée comme un dérangement. Pour cela, vous pouvez mettre en place un pont électrique à l’aide d’une alimentation de secours. Cela permet une exploitation autosuffisante de l’électricité, indépendamment du service public d’électricité, lorsqu’une interruption de cette dernière survient.

Fiabilité et disponibilité

Les entreprises de taille moyenne sous-estiment très souvent les conséquences de telles pannes de systèmes informatiques sur leur activité. Une raison à cela est la haute fiabilité des composants standards utilisés aujourd’hui en entreprise. Leur disponibilité est en général de 99,9 pourcent. Un chiffre qui peut paraître élevé, mais qui peut engendrer une interruption maximale de 9 heures sur une année en exploitant les ressources 24 heures sur 24. Si une interruption survient à un moment de grande affluence, l’entreprise peut payer très cher une indisponibilité relativement courte. Ces systèmes informatiques d’une haute disponibilité de 99,99 pourcent sont d’ailleurs utilisés comme standard pour la mise à disposition de données sensibles. Avec ce type de matériel, un temps d’arrêt maximal de 52 minutes par an est garanti. C’est pour cela que les experts parlent d’un système informatique à très haute disponibilité.

Le problème de ces chiffres sur la disponibilité est qu’ils concernent uniquement le matériel du serveur. Selon la définition duIEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers), un système hautement disponible est caractérisé en tant que tel lorsqu’il assure la sécurité des ressources informatiques même quand il y a une panne d’un composant système :

High Availability (HA for short) refers to the availability of resources in a computer system, in the wake of component failures in the system.”

Une telle disponibilité est atteinte avec l’utilisation de serveurs redondants. Tous les composants importants, en particulier les processeurs et unités de stockages et I/O sont mis deux fois chacun à disposition. Cela permet d’empêcher qu’un composant défectueux ne paralyse le serveur. Mais une haute disponibilité ne protège pas contre les incendies, logiciels malveillants, attaques par deni de service sabotages ou encore la reprise du serveur par un pirate. Pour ces raisons, les entrepreneurs ont dû prévoir des temps d’arrêt bien plus longs et prendre les mesures correspondantes de prévention et de prise en charge des dégâts.

Il existe d’autres stratégies pour compenser la défaillance de ressources dans un service informatique comme un système de secours ainsi qu’une grappe de serveurs pour assurer une haute disponibilité en toute situation. Les deux approches se basent sur une association de deux serveurs ou plus, permettant de mettre plus de ressources matérielles à disposition que ce qu’une activité normale ne nécessite.  

Un système de secours est un second serveur assurant la protection du serveur primaire et prenant en charge ses fonctions en cas de problème matériel ou logiciel. La prise en charge du service est appelée basculement et est automatiquement introduite par le groupement de logiciels de gestion sans intervention de l’administrateur. Une telle construction de nœuds actifs et passifs en tant que groupe de disponibilité asymétrique est envisageable. On parle de structure asymétrique lorsque tous les nœuds du groupe permettent un fonctionnement normal du service.  

Etant donné que la migration d’un service d’un système sur un autre entraîne un retard, on ne peut complètement empêcher l’interruption du service sur des systèmes de secours ou des grappes à haute disponibilité.

Systèmes de défense

Différents programmes sont à disposition des Webmasters pour se protéger de l’influence des hackers, en repérant les intrusions et en s’en protégeant. Pour protéger un serveur d’accès non autorisés, les systèmes critiques sont isolés des réseaux publics via des pare-feu et zones démilitarisées (DMZ .

Les systèmes de reconnaissance d’intrusions, ou Intrusion Detection Systems (IDS), permettent une surveillance automatisée des serveurs et réseaux, et sonnent l’alarme lors de tentatives d’intrusion ou d’attaques automatisées via des logiciels malveillants : un processus qui s’appuie sur un modèle de reconnaissance et d’analyse de statistiques. Si des Intrusion Prevention Systems (IPS) sont mis en place, des mesures de protection automatisées suivent cette alarme. Une connexion au pare-feu est nécessaire, pour que des paquets de données puissent être rejetés, ou que des connexions suspectes soient interrompues.

Afin de tenir les hackers à l’écart des systèmes informatiques critiques, les administrateurs se servent de ce qu’on appelle des Honeypots. Ces derniers apparaissent comme des cibles de choix aux yeux des cybercriminels, fonctionnent de manière isolée du système de production et n’ont donc pas d’influence sur son fonctionnement. Ces Honeypots sont surveillés constamment et ils permettent de réagir à des agressions et d’analyser les modèles d’attaque utilisés ainsi que les stratégies actuelles.

Sécurité et récupération des données

Afin de vite récupérer des données commerciales sensibles en cas de panne de serveur, il est recommandé d’élaborer un concept de sauvegarde informatique conforme aux standards industriels internationaux comme ISO 27001. Ceci permet de déterminer qui est responsable de la sauvegarde informatique et de nommer les personnes ayant un pouvoir de décision en cas de récupération de données. Un tel concept de sauvegarde informatique détermine par ailleurs quand une restauration doit être effectuée, combien de générations doivent être sauvegardées, quel média de stockage doit être utilisé et si des modalités spéciales de transfert comme un cryptage sont nécessaires. Le type de sauvegarde est par ailleurs défini :

  • Sauvegarde complète des données : si toutes les données à enregistrer sont déposées à une certaine heure sur un système de stockage supplémentaire, on parle de sauvegarde informatique pleine. Si les données ont changé depuis le dernier processus de sauvegarde, cela ne sera pas pris en compte avec de telles sauvegardes. Une sauvegarde complète des données prend pour cette raison beaucoup de temps et exige une capacité de stockage élevée, surtout lorsque plusieurs générations de données sont conservées parallèlement. Ce type de sauvegarde informatique marque cependant des points via une récupération de données simple et rapide, car seule la dernière sauvegarde stockée doit être reconstituée. Mais les entreprises perdent cet avantage lorsque les sauvegardes sont effectuées trop rarement. Un tel cas implique une plus grande quantité de travail pour adapter les fichiers modifiés avec l’état actuel.
  • Sauvegarde incrémentale des données : si des entreprises se décident pour une sécurité de données incrémentale, la sauvegarde ne concerne que les données qui ont été modifiées depuis la dernière sauvegardeCela réduit ainsi le temps nécessaire pour effectuer une sauvegarde, mais cela n’est pas tout. Le besoin en capacité de stockage pour différentes générations est également sensiblement plus faible qu’avec une sauvegarde complète. Une sauvegarde informatique incrémentale présuppose au moins une sauvegarde complète. En pratique, cela aboutit souvent à des combinaisons de stratégies de stockage. Lors d’une récupération de données, c’est la sauvegarde complète qui sert de base et qui est complétée par les données des cycles de sauvegardes incrémentales. En général, plusieurs sauvegardes informatiques doivent être ajustées l’une après l’autre.
  • Sauvegarde différentielle : même une sauvegarde différentielle est construite sur une sauvegarde complète. Toutes les données qui ont été modifiées depuis la dernière sauvegarde complète sont sauvegardées. A la différence d’une sauvegarde incrémentale, il ne s’agit pas d’un engrenage de sauvegardes. Une adaptation de la dernière sauvegarde complète avec la sauvegarde différentielle actuelle suffit à une récupération de données.

La stratégie de sauvegarde à mettre en place dans votre entreprise dépend du besoin de disponibilité ainsi que divers aspects économiques. Les principaux facteurs de sélection sont la tolérance aux temps de récupération de données, la fréquence, les dates des sauvegardes ainsi que le rapport entre volume de modifications et volume total de données. Si ces derniers sont plus ou moins superposables, l’économie d’espace via les processus incrémentaux ou différentiels est négligeable.

Formations

Il n’est possible de prendre des mesures relatives à sécurité de l’information que lorsque les employés sont conscients de son impact sur la situation économique de l’entreprise. Une telle prise de conscience autour de la sécurité se développe à travers des formations régulières qui sensibilisent les employés aux risques internes et externes ainsi qu’à leurs conséquences.

Ces informations permettent de comprendre à l’utilisation et la mise en place d’appareils en termes de sécurité ainsi que les concepts d’urgence afin de faciliter un retour à la normale aussi vite que possible en cas de défaillance.

Pourquoi le cloud devient un passage obligé pour les entreprises

Hyperfonctionnel et économique, le cloud computing devient la solution privilégiée par de plus en plus d’entreprises, partout dans le monde. Avec lui, plus besoin d’acheter des serveurs et de mettre à jour logiciels et systèmes d’exploitation. A ses fonctions de sauvegarde, de mise en réseau et d’analyse de données (voire de mégadonnées ou big data), d’accès à des applications bureautiques standard, mais aussi d’exécution de systèmes opérationnels plus complexes (à l’instar d’un service de diffusion vidéo en continu comme Netflix), s’ajouteront bientôt des interactions améliorées avec les objets connectés grâce aux progrès de l’intelligence artificielle et une meilleure communication M2M («machine to machine»). «Nous avons constaté que l’année 2015 est celle où le cloud est devenu un outil courant, et 2016 celle où il a commencé à dominer de nombreux segments du marché informatique ; en 2017, le cloud [s’est imposé comme] la nouvelle norme».

Un marché de à plusieurs milliards de dollars

Les raisons de l’engouement tiennent autant à la variété et à la richesse des applications, à la digitalisation des entreprises et à la rationalisation des coûts en matière d’IT qu’à la sécurité : longtemps considérée comme un frein, la sécurité des données serait désormais perçue comme un atout du cloud. Pour preuve de sa fiabilité, les secteurs de la banque et de l’assurance, autrefois très réservés (à juste titre), l’adoptent progressivement. La plupart des grandes entreprises l’utilisent déjà et les PME devraient à leur tour s’en emparer, qu’il soit 100% public ou hybride (c’est-à-dire public et privé à la fois, formule plébiscitée dans l’Hexagone). Elles ont tout à y gagner : le cloud, levier essentiel de transformation numérique, garantit l’agilité et, a fortiori, la compétitivité et la pérennité des organisations.

Comment préparer la migration des données

Faire migrer l’ensemble des systèmes d’information vers le cloud exige de la préparation de la part des chefs d’entreprise ou des responsables IT. Dans l’ordre, il faut :

Définir une stratégie cloud claire : choisir entre cloud public, privé ou hybride dépend des attentes, et de la taille, de l’organisation. Une solution 100% public évite de se disperser et convient souvent mieux à une PME.

Revoir la gestion financière du service informatique : basé sur un modèle de consommation des ressources matérielles et logicielles par abonnement, le cloud permet de réduire les coûts en data centers et autres licences applicatives. L’investissement se situe ailleurs (dans le stockage, l’utilisation de la base de données, etc.). Pour y voir plus clair, les fournisseurs disposent de configurateurs d’architecture et de prix. Instaurer une gouvernance : créer une cellule de pilotage, former les équipes IT et se faire aider par un prestataire expert dans le domaine optimise les chances de réussite de la migration.

Conserver son indépendance : confier les données de l’entreprise à un tiers requiert prudence et rigueur; la création d’un système d’information (interne) associé aux services du fournisseur limite la dépendance de l’organisation aux applications propriétaires du fournisseur, par exemple.

Se doter d’outils de pilotage : pour gagner en efficacité et profiter de la souplesse du cloud, la montée en compétence de la DSI et l’introduction de nouveaux outils (d’intégration, de développement, de contrôle…) sont indispensables.

Les 3 enjeux d’un service en plein essor

1/ Toujours plus d’espace de stockage. Les principaux fournisseurs de stockage en ligne (AWS, Microsoft Azure et Alibaba Cloud en tête) ont prévu d’accroître leur nombre de data centers dans le monde. Ainsi, en 2018, selon Cisco Systems, la capacité totale de stockage devrait atteindre 1,1 zettabit (1 Zb = 1021 bits), soit deux fois plus qu’en 2017. Il devrait en découler des prix à la baisse pour les petites entreprises.

2/ Du cloud public à l’edge computing. Pour un accès quasi instantané aux ressources ou aux données sensibles, de plus en plus d’entreprises pourraient recourir à de petits data centers de proximité reliés à un data center central. Cette nouvelle infrastructure de cloud, appelée edge computing, vise à augmenter la vitesse de circulation des informations pour s’approcher du temps réel. Elle faciliterait notamment le développement de l’IoT (Internet des objets).

3/ La sécurisation des données. 2017 a été marquée par des cyberattaques mondiales majeures largement médiatisées, à l’image du rançongiciel WannyCry. Afin d’assurer la protection des données présentes dans le cloud, mais aussi de prévenir et de détecter les intrusions en un temps record, entreprises et prestataires doivent investir lourdement dans les solutions SIEM (Security Information and Event Management) et les systèmes de détection de virus de type malware.

L’importance de la maintenance informatique

Les outils informatiques sont aujourd’hui un outil absolument incontournable de production. Quelle que soit l’ampleur de l’activité (TPE, PME, grandes structures), toute entreprise détient au moins un ordinateur. L’informatique permet d’automatiser une partie ou l’ensemble des tâches réalisées et occupe de fait une place centrale. A partir du moment où vous disposez d’un parc informatique, dont un ou plusieurs ordinateurs et/ou un ou plusieurs serveurs ou simplement que vous manipulez des volumes de données, la maintenance informatique est une composante incontournable sous peine d’immobiliser, voire de mettre fin à votre activité. Dans cet article, découvrez en détail les enjeux de la maintenance informatique.

L’informatique est partout dans les entreprises

Le parc informatique est omniprésent au sein des entreprises. Il est à la fois l’outil de travail principal des collaborateurs via les ordinateurs mais sert aussi de solution de stockage et d’archivage des données (via les serveurs). Enfin, il joue également le rôle de moyen de communication interne et externe par les emails, le chat et la téléphonie IP.

Tout est informatisé et le numérique est de plus en plus présents dans la majorité des entreprises, qu’elles soient dans le secteur primaire, dans l’industrie ou dans les services.

Le premier objectif de l’usage de l’informatique réside dans la possibilité d’augmenter la productivité et donc la rentabilité grâce à l’utilisation de machines et de programme adaptés et performants.

Les mécanismes plus récents de transformation digitale des entreprises ne font qu’amplifier la numérisation des différents processus.

La nécessité d’entretenir le parc informatique

Cette position centrale fait de votre parc informatique une composante critique de votre entreprise. Les performances de vos équipes sont indexées sur le bon fonctionnement de des outils.

Les équipements informatiques demandent un entretien régulier. Un élément central défaillant peut entraîner des problématiques en cascade au sein de l’organisation. Parmi les risques courants, on peut citer :

  • Des problèmes de connexion à internet (lenteur, coupures) ;
  • Des pertes de données ou de fichiers ;
  • Une contamination par un virus ;
  • Un bug logiciel ;
  • Du matériel ou des programmes obsolètes ;
  • Un équipement qui tombe en panne ;

Cette liste est loin d’être exhaustive ! Dès lors qu’une partie ou l’ensemble de votre parc informatique est en panne, cela va avoir un impact direct sur la productivité de l’entreprise.

C’est là qu’entre en jeu la maintenance informatique. Il s’agit d’un ensemble d’actions pour garantir le fonctionnement de votre parc informatique dont les ordinateurs, les périphériques, les logiciels et les infrastructures réseau.

Assurer la sécurité des équipements (virus, piratage, fiabilité du stockage…)

Au cœur de la maintenance, il y a la sécurité informatique. Cela consiste tout d’abord à mettre en place des solutions de sécurisation pour l’ensemble des équipements du parc afin d’éviter l’entrée et la propagation des virus dans le réseau d’entreprise.

Cette étape doit être complétée par l’installation et la configuration d’un système de sauvegarde des données pour prévenir les conséquences néfastes d’une panne, d’un piratage ou d’un blocage des données via un « ransomware » par exemple. Pour une sécurité optimale, on peut externaliser le stockage.

La perte de données est un point particulièrement critique : si une panne d’ordinateur ou le ralentissement du réseau peut être pénalisant, ces problèmes peuvent êtres corrigés. Les fichiers perdus non sauvegardés ne pourront pas être récupérés.

En réalisant ces deux couches de maintenance informatique, on protège l’entreprise de défaillances du parc informatique et ont garanti un maintien ou un retour en activité plus efficace.

Optimiser la performance des ordinateurs

Quand on parle de maintenance informatique, il ne s’agit pas seulement de la sécurité des équipements et de la continuité de l’activité, mais aussi de la performance des ordinateurs.

Un poste informatique ne doit pas limiter la productivité des collaborateurs. Les opérations de maintenance visent également à assurer le bon fonctionnement des équipements, des temps de chargement relativement bas et une optimisation de la vitesse de calcul mais aussi de travaux collaboratifs plus efficace.

En effet, les ordinateurs étant des outils qui interagissent entre eux, il est préférable que les salariés interviennent sur les mêmes outils et dans des versions similaires pour pouvoir mieux travailler en collaboration.

Pour favoriser les performances des ordinateurs, la maintenance informatique assure le suivi des mises à jour des logiciels utilisés et vérifie le paramétrage des postes et du réseau pour qu’ils ne ralentissent pas les différentes tâches effectuées sur les ordinateurs.

Lorsqu’on multiplie la réduction des temps de chargement à l’échelle de l’entreprise et que l’on améliorer la production et la circulation de l’information, cela permet de réaliser de considérables gains de productivité.

Installation de réseaux informatiques

Augmentez les performances de votre réseau avec un câblage réseau adapté ! Le nombre de salariés de votre entreprise a augmenté, votre infrastructure réseau se développe, vous déménagez ? Vous souhaitez installer un réseau Wi-Fi ou améliorer votre câblage réseau (informatique ou téléphonique) ? Trouvez une société de câblage ou un prestataire qui répond à vos besoins pour l’installation de votre réseau !

Les entreprises qui s’agrandissent ou qui déménagent sont confrontées au besoin d’installer un réseau informatique. En quoi cela consiste ? Quels sont les éléments à prendre en compte ? Découvrez toutes les étapes nécessaires à la bonne installation d’un réseau informatique dans notre guide.

définition des besoins :

Avant de procéder à toute installation d’un réseau informatique, l’entreprise doit d’abord définir clairement ses besoins. Il est conseillé de faire appel à un prestataire qui rédigera un cahier des charges complet et adapté à la structure. De nombreux éléments seront retenus lors de l’élaboration du cahier des charges comme la superficie totale à équiper et ses spécificités techniques et le nombre de serveurs et de postes nécessaires au bon fonctionnement de l’entreprise.

2. installation des cales

Le câblage consiste à mettre en place un réseau de câbles qui va permettre de relier les serveurs aux ordinateurs. Deux options s’offrent aux entreprises :

–  Il est possible de cacher les câbles dans les murs si le bâtiment est suffisamment récent,

–        Dans le cas où le bâtiment est ancien, l’entreprise peut opter pour des planchers techniques, des faux-plafonds ou des bornes wifi.

3. Installation des serveurs:

L’entreprise doit désormais installer des serveurs si elle n’en a pas et s’assurer qu’elle dispose de suffisamment de serveurs pour absorber ses besoins. Il est également nécessaire de vérifier la connectique : il faut compter un minimum de 2 ports par serveur. Les serveurs peuvent fonctionner sous Windows ou Linux, l’entreprise devra donc choisir le système d’exploitation qui lui convient le mieux.

4. installation des commutateurs réseaux:

La liaison entre les serveurs et les équipements informatiques d’une entreprise (ordinateurs, imprimantes, etc.) se fait par le biais de commutateurs réseaux. Le nombre de commutateurs nécessaires dépendra de votre installation, du nombre de serveurs et d’équipements informatiques dans les locaux.

5. Installation et paramétrage des logiciels serveurs:

Une fois toutes les étapes précédentes réalisées, il devient alors nécessaire d’installer les logiciels serveurs (Windows ou Linux en fonction de ce qui aura été choisi). Il faudra ensuite attribuer une adresse IP à chaque ordinateur ou périphérique du réseau informatique afin de pouvoir tous les identifier.

6. configuration des droits d’accès :

Afin d’éviter que tout le monde n’ait accès à l’ensemble des données de l’entreprise, il est possible de configurer des droits d’accès. On peut ainsi indiquer quels ordinateurs avec quelle adresse IP peut avoir accès à un serveur. Ainsi, le service marketing d’une entreprise aura accès à un serveur dédié et le service commercial aura accès à un autre serveur qui sera réservé à ce département.

7.Mise en place de leviers de sécurité:

La sécurisation du réseau informatique est critique pour une entreprise, notamment lorsqu’elle a opté pour des commutateurs intelligents. Pour cela, elle dispose de plusieurs leviers :

–        La mise en place d’accès utilisateur sécurisé par un mot de passe,

–        Le réglage des priorités entre les différents utilisateurs et/ou services

Netsystème met à votre disposition des experts qualifiés pour vous permettre de mettre en place votre réseau contacter nous.

Mise en place, Exploitation et Maintenance de vos Réseaux

Dans un monde où les réseaux de communications gagnent en complexité et les technologies et produits en audace, l’exploitation, l’entretien et la maintenance des infrastructures réseau deviennent un enjeu économique et environnemental à part entière.
Donc notre préoccupation s’articule autour de deux défit :

A. Optimiser la durée de vie des installations et équipements c’est :

  1.  Garantir la continuité des services aux Clients Finaux
  2. Sécuriser la qualité des services fournis
  3. Prévenir les risques et accidents divers
  4. Acquérir une connaissance suffisante du patrimoine en exploitation pour préparer les transformations technologiques et écologiques.

B. Accroître le rendement des installations et équipements  c’est à dire:

1. Minimiser le coût global de possession
2. Améliorer l’efficacité
3. Retarder les besoins d’accroissement de capacité
4. Optimiser la disponibilité des infrastructures